Dans le monde économique et financier, l’audit joue un rôle essentiel pour évaluer la fiabilité des informations comptables et financières d’une entreprise. Pourtant, il existe plusieurs types d’audit, chacun répondant à des besoins spécifiques.
Parmi les plus courants, on distingue l’audit légal et l’audit contractuel. Alors, quelles sont leurs différences et dans quel cas les privilégier ?
L’audit légal est une mission obligatoire d’intérêt général pour certaines entités. Réalisé par un commissaire aux comptes et ses auditeurs, il a pour objectif de :
En France, la nomination d’un commissaire aux comptes est obligatoire lorsque l’entité dépasse certains seuils en termes de chiffre d’affaires, de total de bilan ou de nombre de salariés.
Contrairement à l’audit légal, l’audit contractuel n’est pas imposé par la loi. Il est réalisé à la demande des dirigeants, des actionnaires ou des partenaires financiers. Ses objectifs sont variés :
Il s’agit donc d’une démarche volontaire, entièrement personnalisée en fonction des besoins spécifiques de l’entreprise.
Pour mieux comprendre :
Audit légal : indispensable si l’entreprise dépasse les seuils légaux ou souhaite renforcer la confiance de ses comptes.
Audit contractuel : recommandé avant une décision stratégique (levée de fonds, fusion-acquisition, réorganisation interne) ou pour évaluer la performance d’un processus.
Les deux démarches sont parfois complémentaires :
Le choix entre audit légal et audit contractuel dépend de la situation réglementaire de l’entreprise, de ses objectifs stratégiques et de ses besoins en analyse financière.
Les experts Numans accompagnent les entreprises dans ces deux démarches pour garantir à la fois conformité légale et performance durable.